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25 mai 2010 2 25 /05 /mai /2010 04:26

                                                                                                    

 senattLa question alerte en ce moment même les sénateurs celle du non-cumul des mandats en effet Martine Aubry a lancé le débat sur cette question pour elle il faut que le PS devance une loi dans ce domaine en obligeant les candidats socialistes a respectés cette règle.

 

Les sénateurs eux pensent que cette loi pourrai nuire à une potentielle victoire de la gauche aux cantonales et sénatoriales de 2011 sous entendant que se sont les candidats et non les idées qui font la victoire de la gauche. Ceci démontre bien que les sénateurs sont totalement entrés dans le système électoral de la Ve République avec une personnification à outrance de la politique au détriment des idées et du programme. Je déplore cette levée de bouclier envers Martine Aubry au nom des intérêts personnels de quelques élus socialistes, la France n'attend pas des socialistes une gestion plus ou moins sociale du pays mais elle attend un véritable changement que cela soit dans les bases de la société ou dans les bases de la politique.

 

Aussi dans une vision de redonner toute sa place aux idées dans le débat politique il est primordial de calmer les appétits cumulards de nos camarades. La politique sous la Ve République est peut être le candidat mais la vraie politique ,celle qu'attend la France et que doit porter les socialistes, est basée sur les idées et l'application de celle-ci.Pour éviter que la politique de demain soit un remake de mauvais goût de la télé-réalité il faut porter le changement dans la classe politique !

 

 

Oui au non-cumul des mandats !

 

 

Mais ne nous arrêtons pas là, le non-cumul des mandats est un outil, mais ne résoud pas en profondeur le problème de la personnification du pouvoir sous la Ve République dont Sarkozy en est la quintessence même. Il faut avancer pour une VIe République !

 

 

 

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23 mai 2010 7 23 /05 /mai /2010 14:18

bus.jpgEn ce moment le Mouvement des Jeunes Socialistes débat sur la ville je voudrai m'intéresser à la question de la gratuité des transports.

 

Un réseau de transports en commun gratuits n'est pas une proposition "demain on rase gratis" mais une réelle vision de la société de demain. Aujourd'hui le coût des transports notamment pour se rendre à son travail chaque jour à une part de plus en plus importante dans le budget des ménages que cela soit avec la voiture, par le réseau de transport en commun ou par les TER ; ceci s'explique notamment par la périurbanisation où le travailleur vit de plus en plus éloigné de son lieu de travail. Ainsi la gratuité des transports est une réponse pour le pas réduire le pouvoir d'achat mais c'est surtout une politique globale pour l'urbanisme de la ville.

 

En effet on peut énoncer plusieurs effets positifs de la gratuité :

 

·Garantie du droit à la mobilité pour les faibles revenus

·Egalité des résidents de la commune ou de l'intercommunalité

·Baisse de l'usage de la voiture pour les courtes et moyennes distances.

Ce dernier effet positif va en amener d'autres qui sont les plus essentiels à mes yeux : par la baisse de l'usage de la voiture nous pourront constater une baisse de la pollution de la ville et moins de nuisances sonores aussi.

L'usage de la voiture se réduisant les flux routiers se réduiront délivrant ainsi les villes de ce fléau et permettant l'appropriation par la ville de son espace au profit de ses résidents.

 

Là est la finalité que l'on doit atteindre car cela sera à ce moment là que l'ont pourra penser une politique d'aménagement urbaine harmonieuse dans le but d'améliorer qualitativement le cadre de vie de tous.

 

 

Mais voila la question qui doit vous torturez depuis le début " C'est bien mais avec qu'elle argent ? «.

 

Si j'énonce toutes ces externalités positives à la gratuité des transports ce n'est pas pour m'amuser à un jeu de réflexion mais bien pour amener de réelles propositions pour changer la vie. Aussi dans le financement des transports aujourd'hui la part de la vente des billets peut selon le réseau en question constituait une part négligeable des sources de financement. Aussi sur les petits et moyens réseaux cette gratuité est envisageable avec une offre de transport optimale.

 

Oui je n'ai pas parlé de l'offre de transport pourtant c'est un point incontournable dans ce sujet je vais vous demander à quoi cela sert de mettre en place la gratuité des transports si l'ensemble de la commune est mal desservis (un bus par heure). De pus l'attractivité de la gratuité s'efface qui voudrai attendre des heures un bus qui sera bondé, la qualité du cadre de vie n'en sera pas améliorer.

 

Aussi pour les grands réseaux tels que Paris la part et le montant de la vente des billets est telle que la gratuité serai sans aucun doute dommageable pour la qualité et le développement du réseau. Néanmoins soyons pragmatique comment pouvons nous concilier les externalités positives de la gratuité dans un réseau où on ne peut pas la mettre en place ? On peut penser tout simplement à une baisse significative des prix en cherchant le montant qui amènera une conciliation entre l'offre de transport optimale et les effets positifs de la gratuité ce prix devrai être égal ou inférieur à 1 € pour un voyage avec une durée de validité plus longue que aujourd'hui ( billet valable sans un laps de temps de 2H par exemple ).

 

 

Pour finir cet article je vais énoncer les possibles sources de financement d'un réseau de transport gratuit :

 

·Impôts locaux puisque cette mesure profitera à tous

·Reversement du chèque-transport des entreprises vers les collectivités locales

·Développement des places payantes dont l'argent financera le réseau de transport

 

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23 mai 2010 7 23 /05 /mai /2010 03:40

Voilà je me lance dans un nouveau blog mais la raison de la création de celui-ci m'échappe encore, sans doute je souhaite avoir un espace où je peux délivrer mes réflexions librement, ou bien tout simplement c'est un blog pour occuper mes moments d'ennuis.

 

Qu'importe mon nom est apposé sur ce blog je ne peux plus faire marche arrière, mais dabord je vais commencer par me présenter.

 

Je suis Nicolas, militant dans le Mouvement des Jeunes Socialistes qui est une organisation de jeunesse autonome et ratachée au Parti Socialiste. Cela fait maintenant plus de 3ans que j'y milite arrivant dans le fracas des élections présidentielles avec une vision d'horreur : "un jour mes enfants apprendront ils le nom de Nicolas Sarkozy comme président de la Ve République? " . Je refusais de voir cette perspective s'accomplir et je décidais de rejoindre les rangs des Jeunes Socialistes pour aider la potentielle victoire de Royal contre Sarko.

 

Néanmoins alors que mon engagement était à l'origine seulement pour la campagne des présidentielles je découvrie dans le MJS une organisation qui me convenait dans laquelle le débat était libre, l'engagement militant était réel et où les jeunes pouvaient développer leurs potentiels parmis leurs pairs.

 

Loin de l'image construite par les médias du bateau PS à la dérive et loin de la vision des "jeunesses musicales socialistes" que reflète la plupart des meetings. Je décidais que malgré la défaite l'espoir à gauche continuer de vivre tant que des jeunes comme nous le fesait vivre...

 

C'est ainsi qu'aujourd'hui je suis toujours et encore militant chez les jeunes socialistes du Var, et que tant qu'un souffle de vie me restera je tacherai de faire pour le mieux afin que les socialistes ainsi que la gauche porte un message de changement de la société  pour continuer la marche du progrès social : course effrénée qui ne connait que quelques pauses au caprice du jeux électoral et que rien ni personne ne saura arrêter !

 

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